Le corps d’une femme atteinte du SOPK ne rentre pas toujours dans une grille à 28 jours.
Mais il répond profondément, comme pour chaque femme, aux signaux de régularité, de respect, de mouvement intelligent et progressif.
L’entraînement doit donc :
- Sortir de la logique du "plus c’est dur, mieux c’est", ou "plus j’en fais, mieux c’est"
- S’ancrer dans le ressenti corporel, la compréhension de son propre fonctionnement
- Soutenir, et non agresser un métabolisme déjà déséquilibré.